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Lors d'une fête aux Saintes Marie de la Mer, Raphaël, policier à Marseille fait la connaissance d'Anjie, une gitane sédentarisée. Quelques jours plus tard, il soupçonne Juan, le frère d'Anjie, du cambriolage d'une bijouterie. Le policier tombe amoureux d'Anjie, qui ne veut rien savoir, même si son coeur tremble pour lui...

Cette saga dauphinoise est un roman, les personnages y sont fictifs. Vous comprendrez bien pourquoi j'ai été obligé de faire ce choix. Comme dans tous mes écrits, il y a une faune hétéroclite qui n'engendre pas la mélancolie, laquelle gravite avec plus ou moins de pertinence autour des acteurs principaux. Mais les exactions citées dans mon récit dont a été victime une famille de paysan éleveur, sont malheureusement, elles, bien réellles. J'ai pu moi-même constater, à plusieurs reprises, que des vaches parquées près de mon domicile se sont retrouvées en pleine nuit, au milieu de la route. Pour la simple et bonne raison, que les fils de fer barbelés qui entouraient leur enclos, avaient été sectionnés. Les gens de la terre sont attachés, plus que tout autre, au patrimoine que leur a laissé ceux qui les ont précédés. Il n'y a rien d'étonnant qu'ils le défendent avec acharnement.

Un livre qui va bouleverser vos représentations. Tom, enseignant, rencontre Jane, la plus belle femme qu'il ait jamais vue. Celle-ci, mystérieuse, ne se livre pas beaucoup. L'amour naît entre ces deux êtres issus de milieux complètement différents. Un an plus tôt, Jane, candidate à l'exil, attend son vol en direction de la Turquie. Son périple commence et il ne sera pas de tout repos. Parviendra-t-elle à raconter à Tom son parcours ? Leur passion va-t-elle durer malgré leurs différences de culture et la situation de Jane ?

Il me revient quelques fois à l'esprit les jours heureux où j'étais tout petit, quand ma mère chantait et mon père aussi. Je me souviens de la fête foraine, des pousse-pousse, des chevaux de bois et des ritournelles du limonaire toujours là. C'était la dolce vita dans un bourg de campagne aux parfums de lilas. Pourtant je n'aillais pas geandir ici mais à la montagne chez mes grands-parents. L'étais un gamin de 8 ans, ardent, casse-cou, toujours sautant comme un cabri ; le père Martin m'appelait Stromboli. Il disait souvent " il ira loin ce petit". Mais avec un loustic comme moi, ce n'était pas garanti !

Je marchais dans cette rue du temps retrouvé, il y avait du vent partout ! Je me suis réfugié dans une petite librairie. En entrant une odeur de livres neufs m'envahissait, me submergeait, me donnait du coeur à l'âme. Un instant j'ai replongé dans mon enfance. Avec la sensibilité à fleur de peau qui le caractérise, Richard Velasquez nous invite dans son premier recueil, à partager ses sentiments. Teinté de douceur et de tendresse, cet ouvrage ouvre le chemin de la paix intérieure, en faisant danser, jouer, se bouculer les mots.

A la question posée " A quoi bon le poète en ces temps de détresse ?" Denis Daul nous donne une réponse édifiante. Son crayon dessine les petits miracles du quotidien ; et un peu à l'image d'un Doisneau, tous ce qui nous entoure prend une dimension magique. Sa plume, comme la baguette d'un musicien, rend son soleil à notre monde qui trop souvent ne sait plus le voir. Le poète veut aussi jeter un cri vers l'horizon (Gabriel Celaya) et Denis Daul fait jaillir ce cri douloureux ! Sans concession, il laisse sa main pointer du doigt tout ce qui détruit notre droit au bonheur. Mais d'un naturel optimiste, ses mots sèment à tous vents des graines d'espoir qui font croire à un monde meilleur. Denis Daul auteur d'un premier recueil au titre évocateur de "ressourcer d'amour", est aussi un chantre de l'amour, qui fait vibrer les coeurs et sous ses mots, le poème "sculpteur d'éternité fixe la valse-vertige" qui emporte deux coeurs. Oui. Denis daul a trouvé les réponses à la question posée " A quoi bon le poète en ces temps de détresse ? Il est là. Essentiel." Alors oui, lisez-le... Entendez l'écrit de Denis et vous cueillerez chaque note et chaque mot comme un bouquet de soleil au milieu de la nuit-même. Gislaine Piégay

Après 35 ans d'oubli, un cahier retrouvé vous livre quelques textes de l'adolescente que j'étais... Observations sur la nature, le chemin à suivre, la complexité des relations, vision sur le monde de l'imaginaire, de l'amour... Pensées ou souvenirs des années 80... le siècle dernier ! Le temps s'est écoulé depuis, avec ses peines et ses joies. Merci aux expériences de vie, aux rencontres et aux compréhensions qui font celle que je suis aujourd'hui.

Une balade à la recherche des cairns, ces constructions de pierres humaines venues du fond des âges, filiformes ou massives, imaginées dans toutes les formes, dans toutes les couleurs, qui jalonnent pistes et chemins redessinant le disparu, l'invisible.

Qui se cache derrière l'identité de Léa Brachet, Grenobloise amoureuse d'un officier allemand pendant l'Occupation et retenue prisonnière dans une maison close ? C'est ce que tentera de découvrir l'éditrice Marie Nolat, 40 ans plus tard, quand elle recevra un mystérieux manuscrit inachevé consacré à l'étrange destin de cette jeune Iséroise. Malheureusement, l'auteur de la biographie ne lui facilitera pas la tâche en refusant, pour d'obscurs motifs, de lui révéler les ultimes chapitres de ce troublant récit et de lui fournir ses sources. Comprenant alors que l'ombre des exactions nazies plane encore sur la région, Marie devra, tout au long de son enquête, redoubler de prudence.

Il est fréquent qu'un sentier de montagne franchisse un torrent qui dévale la pente. Les aléas de la nature et les bons soins des promeneurs ont disposé des caillasses sur une ligne brisée qui permet de poursuivre son chemin sans se mouiller les pieds Chaque pierre aux formes arrondies est instable. Sautillant, on passe de l'une à l'autre oubliant celle que l'on vient de laisser derrière, et ignorant ce que réserve la suivante... Les nouvelles de ce recueil, c'est un peu cela. Suivre un chemin aux surprises inattendues. Il faudra probablement faire demi-tour pour prendre conscience du chemin parcouru, après les avoir lues une prmière fois. Un peu de romantisme, d'anthropologie revisitée, des hommes égarés et des femmes qui les bousculent, des déboires d'artistes et un chat bien à sa place... Lancez-vous sans peur de vous mouiller !

Raymonde Boyer a ce talent d'enchanter les lecteurs et lectrices avec ces riens qui font la vie. Avec toujours une légère dose d'autobiographie, elle nous emmène très loin dans un monde immense comme l'amour. Bien sûr il y a des drames, des maladies, des êtres chers qui disparaissent, mais il y a aussi des amours naissantes, des noces, des bonheurs, des naissances. Le cycle vertueux de la vie. Cécile, l'héroïne,apprend à enchanter ce monde qui l'entoure en devenant écrivain, poète, un lien avec le ciel et la terre. Son écriture pose les choses, adoucit les duretés de la vie et magnifie le bonheur simple des gens honnêtes et travailleurs qui ne souhaitent le malheur à personne et qui ont cette seule envie : vivre pleinement sous le regard bienveillant des étoiles. L'auteure nous apprend à dire avec simplicité : Je suis... Je ne suis rien, je suis tout.

Petit Boulet au Moyen-Age raconte leur histoire et permet leur découverte sur l'Isère. 50 pages épaisses, format 26x16 avec reliure spirale pour pouvoir ouvrir les pages en plein en balade ! Livre à double entrée (en le tournant) Un coté enfants de 20 pages avec dessins et vocabulaire médiéval pour l'histoire du soir et l'apprentissage des lettres

Thérèse a eu l'occasion de prendre de nombreuses responsabilités dans la vie associative. Au Réseau d'Échanges Réciproques des Savoirs de Seyssinet-Pariset, près de Grenoble où elle habite, elle a écrit son livre dans le cadre de l'atelier d'écriture. Elle nous fait partager son histoire. La vie dans la petite ferme de Haute-Savoie où elle est née, la formation déterminante qu'elle a reçue des mouvements d'éducation populaire où elle a découvert la richesse du travail coopératif. Puis nous parcourons avec elle les étapes franchies au cours de sa riche expérience dans les Réseaux d'Échanges Réciproques de Savoirs et d'autres associations, jusqu'à aujourd'hui. C'est un récit vivant, très sensible, plein d'anecdotes précisèment décrites qui donne envie d'aller de l'avant et d'être comme elle, "tisserands d'humanité".

Quel est le lien entre un président de la République qui cherche à être réélu, Massimo, un jeune flic de Grenoble qui gagne le jackpot de l’EuroMillions alors qu’il joue pour la première fois, une femme qui se jette sous un train de marchandises, un neurologue célèbre qui meurt dans la chute de sa voiture dans un ravin et dont la fille Cynthia se demande qui a pris ces clichés d’elle à son insu ? Les chemins de Cynthia et Massimo se croisent lorsqu’elle lui apporte ces photos volées, et tous deux vont essayer de comprendre ce qui se passe.

Léo est un jeune architecte qui rêve de participer à l'élaboration d'un monde meilleur au travers de ses réalisations, plus respectueuses de l'environnement et du bien-être humain. Le début de la concrétisation de son rêve se profile lorsqu'il remporte l'appel d'offres pour réhabiliter tout un quartier à Lyon, mais comme tous les rêves, le sien se confronte à la cruauté du monde réel. L'onde de choc se propage rapidement et frappe de plein fouet son bureau d'études, ce qui remet en cause son avenir. Léo et sa famille résisteront-ils à ce séisme ? Au fait ! Quelle famille ?

Jeune adolescente, je pars de Sicile dans les années 1960 accompagnée de mon frère. J'ai quitté un pays chaud en plein été, mes parents, ma famille et mes amis pour un changement de vie radical. Pour la première fois, j'ai pris le train et traversé la botte italienne pour découvrir les montagnes enneigées des Alpes et la frontière française. Après la misère de Sicile, j'arrive en Isère pour mieux vivre. Je travaille en tant qu'émigrée sans certificat d'études ni expérience du travail en usine. A ce jour, je suis installée près de Grenoble depuis presque un demi-siècle. J'aime transmettre aux générations futures et garder des traces de nos anciens, car les écrits restent et les paroles s'envolent ! Tous les récits des émigrés italiens se ressemblent, mais à chacun sa propre histoire et son réel vécu sans détour. Ce livre écrit en français, avec la traduction italienne, est la continuité du premier tome, Une jeunesse en Sicile.

Un jour de nostalgie, j'ai pris un stylo et j'ai commencé à écrire à la mémoire de mes parents et de mon enfance. Un tas de souvenirs refont surface et je ne peux m'arrêter d'écrire pour raconter les joies et les peines de ma famille. C'est simple. Il suffit de prendre un stylo et l'on commence à écrire. On ne sait pas pourquoi, ni comment, mais les souvenirs remontent du passé. On ne sait pas ce qui va se passer quand on commence à écrire. Voici ce qui m'est arrivé. Tout ce que je raconte est vraiment arrivé.

Elizabeth Fromanger, galeriste à Lyon, est ulcérée et inquiète. Son artiste, Luc Zilch, ne s'est pas présenté au vernissage de la grande rétrospective qui lui est consacrée. Depuis que sa toute dernière sculpture, Baba Yaga, a été livrée sur le lieu de l'exposition, il n'a plus donné signe de vie. La commissaire Pénélope Marge, enceinte et chahutée par de violentes nausées qui brouillent ses décryptages intuitifs, pourtant convaincue que n'importe quel adulte peut avoir envie de simplement s'éclipser, part à la recherche du sculpteur... Elle est principalement épaulée par l'inspecteur Prieur. La sensibilité exacerbée de celui-ci ouvre à leurs recherches des perspectives singulières. Mais cette clairvoyance ne s'écorche-t-elle pas sur les secrets et les fantômes qu'il traîne derrière lui ? Au gré des vacillements hormonaux de l'une et des brumes délétères de l'autre, l'histoire s'en va à la recherche d'un homme... et trouve des ogres.

Andy, un jeune garçon de dix ans, tente de tracer son chemin aux côtés de sa mère Sarah, et Mouchy, voisine complice qui veille sagement sur eux. Un beau tableau de famille, s'il n'y avait la présence de Fred, un beau-père alcoolique, drogué et narcissique, qui leur fait vivre un enfer. Un matin d'hiver, un drame se produit et Andy plonge dans un coma indécis. C'est là que tout débute... Y a-t-il un lien avec les affaires de Patrice et Esther, deux enfants qui ont vécu des expériences similaires il y a presque cinquante ans ? Qui est ce mystérieux voisin qui emménage dans une propriété énigmatique peu après cet accident ? Si Dieu peut entendre nos prières, le Diable peut-il y répondre ?